Céline

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Solution finale

Vive Céline, l’antisémitisme à l’œuvre

« Dihunamb », n° 390, février 1944, p. 23

Dans Dihunamb, nous voyons la promotion de l’antisémitisme de « L’école des Cadavres », l’antisémitisme concentré de Louis-Ferdinand Céline dans son « œuvre ».

Il y a donc quand même de bon Français pour Loeiz Herrieu et son milieu : Céline, « celte et germanique », qui trouve autant de « fusiliers bretons » tués en un jour que de « Juifs de France pendant toute la guerre » de 1914-1918, et tout aussi prêt pour la chasse au « mocos du midi » et aux « Vénérables » Francs-Maçons :

« Racisme d'abord, racisme avant tout ! Dix fois ! Mille fois racisme ! Racisme suprêmement ! Désinfection ! Nettoyage ! Une seule race en France : l'aryenne ! Quel est le véritable ami du peuple ? Le fascisme. Qui nous préserve de la guerre? C'est Hitler ! Je me sens très ami d'Hitler, très ami de tous les allemands. Je trouve que ce sont des frères, qu'ils ont bien raison d'être racistes. Ca me ferait énormément de peine si jamais ils étaient battus. Je trouve que nos vrais ennemis ce sont les juifs et les francs-maçons. ».

Quelle différence fondamentale, dans cette autre citation de « L’école des Cadavres », avec L’Heure Bretonne ou Dihunamb ?

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