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| Diwan est le cheval de Troie du dynamitage de l’État-Nation C’est la seule raison des soutiens de gauche comme de droite.
« Vouloir pratiquer une langue régionale et s’intéresser à une culture spécifique est tout à fait louable. Mais l’intégration de Diwan n’est pas un projet culturel. Il s’agit d’un projet politique, bâti sur une perspective indépendantiste ». Venant d’un journal qui n’est pas, loin s’en faut, particulièrement critique vis à vis de Diwan, chacun appréciera à sa juste valeur cette caractérisation de l’accord passé avec le ministre jack Lang.
1. D’une part que les parents, qui se tournent vers les écoles Diwan, sont étrangers à ces orientations . La réponse est oui. Ils les ignorent le plus souvent ou ne leur accordent pas d’importance. C’est l’objet d’une réunion comme celle-ci – non exclusive d’autres formes et d’autres organisations – d’engager, sur la base des faits, cette réflexion 2. Deuxième objection : le mouvement autonomiste breton dont Diwan est le volet éducatif, a entrepris un démarquage salutaire vis à vis de ce passé détestable comme le prouvent les récentes études universitaires, les colloques, les livres etc.
Examinons de plus près ce qu’il en est au travers d’un ouvrage récent et représentatif de cette nouvelle attitude.
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